Right to know (« droit de savoir ») est le nom d'un principe juridique notamment développé (sous ce nom) dans le droit des États-Unis, visant à donner aux citoyens un libre accès à l'information environnementale et en particulier relative aux expositions individuelles et collectives aux toxiques environnementaux, y compris sur le lieu de travail[1],[2].
Ce « droit de savoir » était déjà présenté dans le livre de Rachel Carson, Silent Spring[3] et réclamé par de nombreux environnementalistes, au moins depuis les années 1970.
Dans les pays où il est appliqué, ce droit entre parfois en conflit avec le secret commercial, le secret des affaires ou le secret défense (ainsi, par exemple le département de la Défense des États-Unis en est partiellement exempté, il peut s'autoréguler à l'abri des lois étatiques et fédérales relatives aux réglementations de l'OSHA et de l'EPA sur le sol étranger et national).